Les start up sont elles si en dehors des réalités que cela?
Et bien pas tout à fait. Une start up est destinée à s’imposer et à croître coûte que coûte et pour cela il faut trouver un mécène qui accepte de financer le projet. Si les business angels de l’époque de la ruée de l’Internet de la fin des années 1990 ont laissé la place à des entreprises du CAC 40 qui bien souvent y trouvent un grand intérêt à ces «jeunes pousses» prometteuses qui deviennent par extension leur R&D (recherches et développement), c’est parce qu’elles n’ont pas les moyens de trouver les ingénieurs capables de fonctionner avec une logique d’entrepreneur dans l’entreprise. La start-up est alors idéal comme laboratoire avec application commerciale et donc retour sur investissement. Les industriels investissent dans des start-up rentables.
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Les premières start up françaises des années 2000 étaient dans l’amateurisme au sens large car tout était à faire au niveau technologique, informatique et internet sans oublier la téléphonie mobile qui utilise la technologie des serveurs informatiques.
Près de 20 ans plus tard, les entrepreneurs dans leurs start up ont à présent tout ce qui leur faut dans un meilleur cadre juridique sans doute aussi et ces entreprises apportent d’immenses bienfaits pour les consommateurs et leur confort de vie sans oublier leur sécurité. Il y’a encore tant à faire dans la robotique et l’informatique que nous n’en sommes qu’aux tous débuts d’une nouvelle épopée qui nous réservera de très agréables surprises en particulier pour la médecine et la chirurgie et les applications du transhumanisme. Nous sommes en retard sur le programme, il est urgent que les choses avance plus rapidement dans ce domaine.
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Xavier Jaffré
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