Dépénaliser toutes  les drogues.

Pour mettre un terme aux violences dans les banlieues.

Solutions:
1) Mettre en place le revenu de base.
2) Dépénaliser la vente et la consommation de toutes les drogues, sauf le crack.
L’idée de dépénalisation des drogues peut paraître absolument insupportable. Les faits qui vont suivre vont prouver que non et constituer quelque chose de super innovant et de tout a fait inédit.

Sécurité urbaine:

La paix sociale devra passer par des concessions que l’État devra faire. Nous ne pouvons rien faire contre le trafic de stupéfiants. Le combat est perdu d’avance. Les opérations du ministre de l’intérieur avec ses opérations places nettes ou places propres ou quelque chose comme ça, sont des bides monumentaux. Et augmentent même le trafic de stupéfiants. Les prises de drogues effectuées par la police sont minables, idem pour les sommes d’argent confisquées, ce n’est rien du tout. C’est zéro.
Au niveau national, cela se compte en milliards d’euros. Et au dessus des dealers, du niveau national, les barons de la drogue, personne n’ose les toucher sur les lieux de production des drogues.

Solution(s):
Organiser une table ronde entre le gouvernement et les organisations considérées comme mafieuses en France et l’étendre à l’international s’il le faut: Colombie, Maroc, Afghanistan. L’objectif est de parvenir au rétablissement de la tranquillité publique. Pour cela, nous devons permettre aux organisations mafieuses de sortir de la clandestinité et d’en faire de véritables entreprises légales sous forme juridique de société anonyme par exemple, un statut qui leur conviendrait très bien.

Une réconciliation entre tous les français s’impose, cela inclu également les membres de ces sociétés secrètes mafieuses avec l’État et le reste de la population. Ces sociétés secrètes, auront pour mission accessoire de tenir la jeunesse en bride, dans la mesure ou cela sera possible, cela grâce aux emplois offerts. Ces organisations secrètes dites mafieuses sont des entreprises familiales en puissance.
En général, beaucoup de ces personnes considérés comme des mafieux, aspirent à devenir des citoyens respectés. Nous devons permettre la réalisation de ce noble sentiment en les recyclant dans le business légal, qui va passer par la légalisation de la vente de toutes les drogues, sauf le crack et le fentanyl et autres dérivés qui détruisent la santé de façon trop flagrante.

Condition(s):

Toutes ces entreprises nationales de trafic de stupéfiants, devront fabriquer et vendre une ou des drogues qui ne doivent pas êtres plus dangereuses pour la santé, que l’alcool et les cigarettes. Ce qui veut dire que l’État aura un contrôle total sur le plan sanitaire, vis à vis de ces entreprises de drogues.

Interdiction de vendre de la drogue aux mineurs. Les conditions et les lieux de vente de drogues sont à débattre. Interdiction de faire de la publicité. Le marketing si on peut appeller cela ainsi, devra se faire par les commerciaux qui seront des vendeurs: collecte de courriels des consommateurs pour la proposition de produits stupéfiants qui seront controlés par le ministère de la santé qui sera leur ministère de tutelle comme pour l’alcool et les cigarettes.

Interdiction de vendre de la drogue près des universités, des collèges et lycées et des lieux de rassemblement de la jeunesse. Les lieux où la drogue pourra se vendre est à débattre.

Les restrictions imposées aux nouveaux commerçants et industriels de la drogue sont nécessaires pour la protection de la santé publique. Mais nous respectons la volonté de certains français de se droguer, de boire de l’alcool ou de fumer des cigarettes. Une prohibition engendre un trafic clandestin de produits de mauvaise qualité qui peut devenir dangereuse pour les consommateurs. Voilà pourquoi la dépénalisation de presque toutes les drogues est nécessaire. Il y a une offre et une demande, au nom de la liberté du commerce, nous devons respecter cette situation.

Ainsi nous pouvons espérer voir les vendeurs de drogues s’affronter au tribunal de commerce plutôt que dans des règlements de comptes mortels, lors d’un conflit pour concurrence déloyale. De plus, cela mettra un terme définitif au caïdat dans les cités. Les violences vont toutes disparaitre.

Tout est à débattre, les divers mouvements de résistance devront communiquer cela aux nouveaux partis politiques et aux nouveaux candidats.

Constat et rappel:

Aux Etats Unis, il y a eu le même problème avec la prohibition de l’alcool dans les années 20 ou 30. Tout le monde en consommait, même au sommet de l’Etat. C’était une hypocrisie. A la fin de la prohibition, il est tout à fait évident qu’il devait y avoir moins de décès par coma éthylique que du temps où celle-ci existait.

Avec la dépénalisation des drogues en France, il n’y aura pas plus de drogués dans les rues. L’équilibre sera maintenu. L’Etat sera content car il pourra récolter sa part via les impôts qui cette fois seront équitables. Il est à souligner que les dealers actuels ont pour beaucoup une ardoise conséquente à régler à l’administration fiscale. Ce qui est injuste et en même temps malhonnête.

Tout est à débattre et à améliorer pour une réconciliation de tous les français.
Un retour à une certaine forme d’insouciance est peut être possible.

On peut évoquer une forme de libéralisation de la croissance, avec des drogues qui vont devenir aussi socialement acceptables que l’alcool et la cigarette.