Hygiène hospitalière
Nous connaissons des épidémies de grippe, bronchiolite, bronchite, angine et maladies diverses. Les hôpitaux sont des lieux où grouillent sans cesse des bactéries anaérobies potentiellement dangereuses pour les voies respiratoires, en particulier avec la climatisation et la propagation de la légionellose. En été comme en hiver nous avons ce soucis de ces maladies qui génèrent des décès prématurés à l’année.
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Les hôpitaux dégagent des odeurs épouvantables de désinfectants, ces produits sont efficaces pour protéger les vies des malades et du personnel hospitalier mais désagréables à l’odorat. Un changement d’odeur s’avère capital pour que le cadre de vie de tous soit plus agréable sans générer d’allergies pour les malades et le personnel soignant. L’inconvénient des détergents est leur côté « piquant ».
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Les grands magasins parisiens du luxe et des centres commerciaux régionaux utilisent des parfums d’ambiances qui sont très efficaces, c’est le marketing neuronal ou olfactif. Il détend le client, le rend joyeux et le prépare à la consommation. Des sprays diffuseurs sont en action de façon périodiques pour diffuer du parfum toutes les heures ou toutes les 15 minutes.
La même chose pourrait être utiliser en milieu hospitalier pour la diffusion de produits désinfectants naturel comme l’huile éssentielle d’eucalyptus qui détruit tous les germes pathogènes pour les bronches et accésoirement contribue de chasser le virus de la grippe, et l’huile essentielle de romarin pour détendre les malades et les familles. Il se pourrait que l’huile essentielle de romarin puisse calmer l’agressivité de tout le monde en raison de son fort pouvoir sur le cerveau. Ce qui éviterait les bagares entre malades, visiteurs, médecins et vigils à l’accueil de l’hôpital.
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L’avantage des huiles essentielles est qu’elles se propagent partout au passage des gens qui se déplacent dans les couloirs des hôpitaux, l’ouverture et les fermetures des portes des services et des ascenseurs.
Les coûts d’installation et d’usage très modiques de ces sprays automatisés pourraient avoir un retour sur investissement très intérressant, avec moins de stress au travail et moins de maladies, donc moins d’absentéisme et plus de productivité.
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Xavier Jaffré
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